Les poêles mixtes en bois et granulés sont très performants, avec des rendements atteignant 80 % en mode bois et environ 90 % en mode granulés. Le choix des bons combustibles est essentiel, avec une humidité de 20 % pour les bûches et des granulés de haute qualité. Les aides financières sont disponibles, mais les poêles doivent respecter les critères de performance du label Flamme Verte 7 étoiles. La chaleur dans ces poêles est répartie par convection et rayonnement, offrant diverses options de chauffage pour une efficacité maximale.
Les prouesses des poêles mixtes
Les performances des poêles mixtes bois et granulés sont remarquables, offrant des rendements exceptionnels. En mode « bois », ces appareils affichent un rendement avoisinant les 80 %. Par contre, le rendement est plus élevé en mode « granulés » généralement autour de 90 %. N’hésitez pas à parcourir ce site pour d’autres informations !
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Cette efficacité environnementale est néanmoins conditionnée par le choix de combustibles appropriés. Pour les bûches, il faudrait opter pour un taux d’humidité d’environ 20 %, équivalent à un séchage de 18 à 24 mois sous un abri bien ventilé.
Concernant les granulés de bois, la norme est déjà assurée par les sacs disponibles sur le marché. Toutefois, il est préférable de privilégier ceux avec un pouvoir calorifique élevé (› 5 kwh/kg), un faible taux d’humidité (< 8 %) et de cendres (< 0,5 %).
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De plus, il est impératif de stocker ces combustibles dans un endroit sec pour garantir leurs performances optimales.
De plus, les poêles mixtes peuvent bénéficier d’aides financières, à condition de respecter des critères de performance spécifiques. Pour être éligible, l’installation du matériel doit être effectuée par un professionnel certifié RGE, et les performances doivent correspondre aux exigences du label Flamme Verte 7 étoiles.
Pour les poêles à bois, cela implique :
- Un rendement énergétique d’au moins 75 % ;
- Des émissions de monoxyde de carbone inférieures ou égales à 1500 mg/nm3 ;
- Des émissions de particules de moins de 40 mg/nm3.
Concernant les poêles à granulés, les critères sont encore plus stricts, avec un rendement énergétique minimal de 87 %, des émissions de monoxyde de carbone inférieures ou égales à 300 mg/Nm3, et des émissions de particules ne dépassant pas 30 mg/Nm3. Les aides financières pour les poêles à granulés sont généralement plus importantes que celles pour les poêles à bois. Cela en fait une option intéressante pour ceux, répondant aux critères de performance.
La répartition de la chaleur dans le poêle mixte
La chaleur dans un poêle mixte se diffuse de manière efficace à travers deux principaux mécanismes : la convection et le rayonnement. En termes de convection, l’air ambiant entre par la partie inférieure du poêle. Ensuite, il se réchauffe au contact de l’appareil, puis ressort par la partie supérieure.
Cette circulation d’air peut être naturelle ou assistée par un ventilateur tangentiel. Les poêles mixtes à convection naturelle avec des caractéristiques d’une approche nordique diffusent la chaleur lentement et silencieusement autour de la pièce.
En revanche, les poêles ventilés sont associés à une approche italienne et sont équipés de souffleries pour propulser la chaleur plus rapidement. Cela les rend idéaux pour une utilisation excentrée, bien que parfois bruyante. Certains poêles hybrides peuvent également être canalisés, permettant ainsi de chauffer des pièces adjacentes grâce à des ventilateurs supplémentaires.
Du côté du rayonnement, certains modèles sont dotés de trois vitres dans leur foyer, offrant une intense diffusion de chaleur à proximité. Toutefois, d’autres intègrent un manteau accumulateur, permettant de maintenir des températures constantes et de diffuser de la chaleur même après extinction.
